La réforme du Conseil des droits de l’homme (CDH) est d’une importance centrale pour maintenir la confiance des États, de la société civile et des partenaires dans son rôle vital pour l’avancement des droits de l’homme, a affirmé, lundi, son président, Omar Zniber.
Intervenant à l’ouverture du segment de haut niveau de la 55ème session ordinaire du Conseil des droits de l’homme à Genève, M. Zniber a indiqué que le chantier de réforme fait l’objet d’une évaluation minutieuse des réalisations positives et des lacunes en termes d’efficacité et d’agenda, en vue de la décision sur la réforme prise par l’Assemblée générale des Nations Unies.
Le représentant permanent du Maroc à Genève, qui a été élu président du CDH en janvier, a noté l’impact de la crise des liquidités de l’ONU sur le CDH et ses mécanismes, notamment en termes de flexibilité dans l’organisation des réunions et l’utilisation de moyens hybrides pour gérer les événements du CDH.
La 55ème session, qui est la plus longue depuis la création du Conseil, abordera plusieurs défis qui doivent être relevés dans un climat de confiance, afin de réaliser des progrès tangibles en matière des droits de l’homme, en dépit de l’impact significatif des crises géopolitiques, a-t-il relevé.
M. Zniber a insisté sur la nécessité d’un équilibre entre les droits civils et politiques, d’une part, et les droits économiques, sociaux et culturels, d’autre part, car ces droits sont indivisibles.
Dans ce contexte, le président du CDH a passé en revue l’impact des questions de sécurité alimentaire, de santé et de la crise environnementale sur la jouissance effective des droits de l’homme, en soulignant les nouveaux défis posés par l’accès aux technologies et la fracture numérique dans la mise en œuvre des droits.
M. Zniber a ouvert la 55e session du CDH, qui se tient jusqu’au 5 avril, en présence du Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, du président de l’Assemblée générale des Nations unies, Denis Francis, du haut-commissaire aux droits de l’homme, M. Volker Türk, et du ministre suisse des Affaires étrangères, Ignazio Cassis.
Le Conseil examinera plus de 100 rapports présentés par le Secrétariat des Nations Unies et le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’Homme, des experts des droits de l’Homme et par d’autres organes d’enquête concernant de nombreux thèmes et intéressant la situation des droits de l’Homme dans près de 45 pays. Au total, le CDH tiendra 23 débats interactifs avec des titulaires de mandats au titre des procédures spéciales.
Le Conseil, qui compte actuellement 47 pays membres, examinera plusieurs rapports ayant trait au droit au logement, à l’alimentation, à l’environnement, ainsi qu’à des problèmes liés au changement climatique et à la situation des défenseurs des droits de l’Homme.
Outre la question de la discrimination raciale et de la xénophobie, le CDH traitera des problématiques des enfants dans les conflits armés et des personnes en situation de handicap.
La réforme du Conseil des droits de l’homme (CDH) est d’une importance centrale pour maintenir la confiance des États, de la société civile et des partenaires dans son rôle vital pour l’avancement des droits de l’homme, a affirmé, lundi, son président, Omar Zniber.
Intervenant à l’ouverture du segment de haut niveau de la 55ème session ordinaire du Conseil des droits de l’homme à Genève, M. Zniber a indiqué que le chantier de réforme fait l’objet d’une évaluation minutieuse des réalisations positives et des lacunes en termes d’efficacité et d’agenda, en vue de la décision sur la réforme prise par l’Assemblée générale des Nations Unies.
Le représentant permanent du Maroc à Genève, qui a été élu président du CDH en janvier, a noté l’impact de la crise des liquidités de l’ONU sur le CDH et ses mécanismes, notamment en termes de flexibilité dans l’organisation des réunions et l’utilisation de moyens hybrides pour gérer les événements du CDH.
La 55ème session, qui est la plus longue depuis la création du Conseil, abordera plusieurs défis qui doivent être relevés dans un climat de confiance, afin de réaliser des progrès tangibles en matière des droits de l’homme, en dépit de l’impact significatif des crises géopolitiques, a-t-il relevé.
M. Zniber a insisté sur la nécessité d’un équilibre entre les droits civils et politiques, d’une part, et les droits économiques, sociaux et culturels, d’autre part, car ces droits sont indivisibles.
Dans ce contexte, le président du CDH a passé en revue l’impact des questions de sécurité alimentaire, de santé et de la crise environnementale sur la jouissance effective des droits de l’homme, en soulignant les nouveaux défis posés par l’accès aux technologies et la fracture numérique dans la mise en œuvre des droits.
M. Zniber a ouvert la 55e session du CDH, qui se tient jusqu’au 5 avril, en présence du Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, du président de l’Assemblée générale des Nations unies, Denis Francis, du haut-commissaire aux droits de l’homme, M. Volker Türk, et du ministre suisse des Affaires étrangères, Ignazio Cassis.
Le Conseil examinera plus de 100 rapports présentés par le Secrétariat des Nations Unies et le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’Homme, des experts des droits de l’Homme et par d’autres organes d’enquête concernant de nombreux thèmes et intéressant la situation des droits de l’Homme dans près de 45 pays. Au total, le CDH tiendra 23 débats interactifs avec des titulaires de mandats au titre des procédures spéciales.
Le Conseil, qui compte actuellement 47 pays membres, examinera plusieurs rapports ayant trait au droit au logement, à l’alimentation, à l’environnement, ainsi qu’à des problèmes liés au changement climatique et à la situation des défenseurs des droits de l’Homme.
Outre la question de la discrimination raciale et de la xénophobie, le CDH traitera des problématiques des enfants dans les conflits armés et des personnes en situation de handicap.