marche verte 2025

Une vidéo a récemment circulé sur les réseaux sociaux montrant un repas tajine de la viande et des légumes contenant des vers dans l’un des restaurants d’Ouzoud dans la région d’Azilal.

Donc pour discuter de cette problématique, le journal « le12.ma » accueille Bouaza Kharati président de Fédération Marocaine des Droits du Consommateur en 3 questions :

Comment la Fédération donne-t-elle suite au cas de Tajine Ouzoud?

Tout d’abord, la Fédération a suivi l’affaire du tajine d’Ouzoud, par l’intermédiaire d’un consommateur qui a eu le courage de photographier le tajine et de le diffuser à l’aide des consommateurs.

Franchement, dans ce cas, nous sommes les responsables puisque c’est une question qui touche le consommateur, mais il y a une entrée pour un autre problème, qui est le contrôle sur les données alimentaires.

Fallait-il diffuser la vidéo pour que les autorités interviennent?

Il est tout à fait normal d’après la loi marocaine que le citoyen ait le droit de porter plainte dans tous les cas qui nuisent au bien-être des citoyens, et à partir de là, nous sommes tenus d’informer les citoyens de leurs droits fondamentaux, y compris le droit à la sécurité sanitaire.

Que recommande la fédération au consommateur dans de tels cas?

Il y a trois niveaux de responsabilité: 

Il y a d’abord la loi, il faut que je dois savoir converge pour aboutir à une bonne protection du consommateur.

Puis il y a l’autorité qui autorise l’exercice dans les métiers quelconques et plus exactement celui de la restauration dans laquelle on peut poser les questions suivantes : 

-Est-ce que ces autorités sont compétentes ? Et est-ce que les collectifs locales sont compétentes pour autorisé l’exercice de cette métier (la restauration) ?

Il y a aussi le contrôle dans lequel on peut poser la question suivante :

-quelles sont les autorités qui contrôlent le contrôle alimentaire quotidiennement selon la loi ?

On conclure que les autorisations sont octroyées par les conseils pour protégées les consommateurs et pour données une bonne protection pour les consommateurs.

Par. A. Saadi (journaliste stagiaire)