Le gouvernement de Giorgia Meloni n’a adressé aucune invitation à l’entité fictive, et ce n’est pas la première fois que les pays européens ignorent cette organisation séparatiste.

A cette égard l’adhésion de ces pays au partenariat stratégique qui les unit au Royaume du Maroc d’autant plus qu’ils ignorent toutes les tentatives algériennes visant à infléchir leur position sur la question du Sahara marocain.

Malgré le grand élan que connaissent les relations algéro-italiennes, concrétisé par des accords économiques et des visites échangées par les responsables de ces deux pays, récemment, le palais de Mouradia n’a pas réussi à assurer la participation du polisario aux travaux du sommet italo-africain, qui a vu la participation d’un groupe de chefs d’États et de gouvernements africains en présence notamment de la Première ministre italienne Giorgia Meloni, du président de la Commission de l’UA, Moussa Faki et de la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.