Le ministre de l’Inclusion économique, de la Petite entreprise, de l’Emploi et des Compétences, Younes Sekkouri, a affirmé, vendredi à Fès, que le Maroc, sous la conduite éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, s’est érigé en un « modèle de paix et de tolérance » à travers le monde.

« Ce modèle de paix et de tolérance vise à reconstruire la confiance à l’échelle internationale », a dit M. Sekkouri qui s’exprimait lors des « Rencontres de l’Université Euromed de Fès » sur l’avenir des civilisations, initiées sous le haut patronage de SM le Roi Mohammed VI sur le thème « Reconstruire la confiance pour un monde uni et pluriel ».

Le ministre a estimé que « grâce au leadership de SM le Roi et à la pérennité de la tradition marocaine en matière de pluralité politique, nous avons érigé notre modèle à terme que nous cherchons à fortifier de plus en plus en matérialisant de façon claire un choix démocratique ».

Selon lui, le modèle marocain « n’est ni utopique ou théorique. C’est un modèle qui se base sur une organisation du pays, que ce soit sur le plan social, sportif, diplomatique ou économique ».

Et d’enchaîner que grâce au leadership du Souverain et à l’intelligence du peuple marocain, les Marocains sont capables de se déployer, où qu’ils soient de par le monde, « avec confiance, assurance et, surtout, avec humilité ».

M. Sekkouri a souligné qu’il est impératif de « s’interroger de façon très pragmatique sur la façon dont les projets de société sont élaborés ».

« Les pays, les Etats, les sociétés que nous avons en face, sont-ils en paix avec eux-même? », s’est-il demandé.

Réunissant d’éminentes personnalités internationales, ces rencontres, qui se poursuivent samedi, portent sur plusieurs axes liés à la paix, la migration et la coopération internationale, la transparence, la responsabilité et la confiance, la diplomatie préventive et la coopération internationale ainsi qu’à l’intelligence artificielle.

Selon les organisateurs, ces rencontres sont portées par la détermination de promouvoir le dialogue, en vue d’édifier des solutions communes aux problèmes mondiaux tels que les impacts de l’intelligence artificielle (IA) sur l’intégrité et l’exactitude des informations, les phénomènes climatiques extrêmes ou encore la migration forcée sous la pression de divers facteurs.