Grâce au leadership de SM le Roi Mohammed VI, le Maroc s’érige en modèle de vivre-ensemble et d’altérité et en rempart contre le fanatisme et l’extrémisme violent, a souligné le directeur exécutif de la Fédération séfarade américaine (ASF), Jason Guberman.

Ancré dans une histoire séculaire et un héritage culturel ancestral, le modèle marocain renseigne sur un pays soudé et imprégné des valeurs de la modération, du juste-milieu et du pluralisme, a indiqué M. Guberman dans une déclaration à la MAP, à l’occasion de la conférence parlementaire sur le dialogue interconfessionnel qui se tient du 13 au 15 juin à Marrakech sous le Haut patronage de SM le Roi.

Il a également relevé que la démarche marocaine prône les vertus de paix et la prospérité, soulignant que les actions de SM le Roi Mohammed VI, Amir Al-Mouminine, en faveur de la fraternité, la coexistence, la cohésion et la coopération constituent un exemple à suivre dans un monde en proie aux divisions et à l’inaction.

Le directeur exécutif de la Fédération séfarade américaine a, en outre, indiqué que le message adressé par le Souverain à la conférence de Marrakech sur le dialogue interconfessionnel est une source d’inspiration, ajoutant que l’ASF se félicite des actions majeures entreprises sous le leadership royal en faveur de la coexistence et la paix.

Il a conclu en citant un passage du message royal dans lequel le Souverain souligne que sur cette terre de brassage (le Royaume), “ont toujours coexisté musulmans, juifs et chrétiens depuis des siècles, le Maroc ayant généreusement accueilli et protégé des milliers de musulmans et de juifs de la péninsule ibérique venus s’y réfugier pour échapper aux persécutions religieuses des XVème et XVIème siècles”.

Organisé par l’Union interparlementaire avec le Parlement du Maroc, en partenariat avec “Religions for Peace” et avec le soutien de l’Alliance des civilisations de l’ONU et de la Rabita Mohammadia des Ouléma, ce conclave connaît la participation de parlementaires, de chefs religieux, de représentants de la société civile qui engagent un dialogue constructif et échangent sur les meilleures pratiques pour résoudre les principaux problèmes entravant la coexistence durable.

Cette conférence internationale, initiée sous le thème “dialogue interconfessionnel : collaborer pour notre avenir commun”, reflète les rôles importants et multiples joués par l’institution législative nationale, qui s’inspire de l’histoire millénaire du Royaume, faite de tolérance religieuse et de coexistence.